Exercice personnel
Sujet :
- Penser à une demoiselle de son entourage
- Discourir dans un phrasé ampoulé mais honnête à son sujet.
- 5 lignes requises
- Temps de réflexion minimal requis
- Début : 1h28
"Comment ? Aurais-je donc mené une vie d'aveugle pour n'avoir pu profiter plus tôt de ce que ce monde a à offrir à mes yeux ? Serait-ce une vision onirique ou bien le spectre d'une déesse oubliée parmi les religions du passé ? Les battements de mon coeur m'assourdissent alors que l'air refuse de continuer à transporter la vie en moi. Je profite de ce dernier souffle pour vous avouer que l'insensibilité que l'on attribue aux hommes n'est pas de mise lorsque je vous vois. Jamais je n'avais deviné que les astres pouvaient s'incarner dans la splendeur d'un corps qu'il est permis à l'homme que je suis de côtoyer sans que cela ne le blesse plus que par l'amour qui le frappe, tel la flèche de cupidon traversant les âges pour m'atteindre d'un trait qui laissera sa marque sur les plus profondes de mes pensées."
Fin du sujet : 1h33
Remarques : Le phrasé ampoulé ne l'est pas tant que ça, mais l'a été assez pour m'inciter à dépasser l'honnêteté. Je ne suis pas amoureux, juste séduit. Mais, le romantisme associé à ce style ne permet pas de se contenter de séduction.
- Penser à une demoiselle de son entourage
- Discourir dans un phrasé ampoulé mais honnête à son sujet.
- 5 lignes requises
- Temps de réflexion minimal requis
- Début : 1h28
"Comment ? Aurais-je donc mené une vie d'aveugle pour n'avoir pu profiter plus tôt de ce que ce monde a à offrir à mes yeux ? Serait-ce une vision onirique ou bien le spectre d'une déesse oubliée parmi les religions du passé ? Les battements de mon coeur m'assourdissent alors que l'air refuse de continuer à transporter la vie en moi. Je profite de ce dernier souffle pour vous avouer que l'insensibilité que l'on attribue aux hommes n'est pas de mise lorsque je vous vois. Jamais je n'avais deviné que les astres pouvaient s'incarner dans la splendeur d'un corps qu'il est permis à l'homme que je suis de côtoyer sans que cela ne le blesse plus que par l'amour qui le frappe, tel la flèche de cupidon traversant les âges pour m'atteindre d'un trait qui laissera sa marque sur les plus profondes de mes pensées."
Fin du sujet : 1h33
Remarques : Le phrasé ampoulé ne l'est pas tant que ça, mais l'a été assez pour m'inciter à dépasser l'honnêteté. Je ne suis pas amoureux, juste séduit. Mais, le romantisme associé à ce style ne permet pas de se contenter de séduction.