Les songes
Et ce texte de John me pousse à la réflexion...
Sur le coup, j'en ai rien à faire de ce que dit Freud. D'ailleurs, comme toutes réflexions sur ce blog, ce sont les miennes et non celles des autres.
Le monde des songes est assez troublant. Parfois enrichissant, il nous donne beaucoup d'idées, il nous forme, il nous comdamne aussi. J'ai déjà rêvé d'une fille, que je pensais aimer. Rêvé d'une situation particulière avec elle. Et lorsqu'un semblant de cette situation s'est déroulé, je l'ai poussé dans le sens de mon rêve, ce qui a créé un échec. Pourtant dans le rêve, tout s'était si bien passé :).
On rêve à des supers pouvoirs, à une vie meilleure, une aventure banale, des choses extraordinaires. On rêve éveillé. On ment, on se ment. Mais pourquoi ?
Je sais encore ce foutu mot. Pourquoi ?
Pour s'évader, d'un monde qui nous déplait. Par besoin, par nécessité. Non c'est pas la solution. Parce que des fois, on se lie à la réalité. On rêve de notre dernière DotA. On revit le passé. On fout tout en l'air, on a peur. On se cache d'une réalité qui nous absorbe. On ne rêve que par peur peur. On cauchemarde.....STOOOOOP ! On arrête le délire.
Là, j'ai peur, peur que ce que je vienne de dire soit vrai. On pourrait rêver que par peur de la réalité. Après tout, on ne crée rien, on utilise les outils du vrai pour faire du presque vrai.
Je vois plutôt le rêve comme un autre nous. Un nous réél, qui a tout pouvoir, sauf de ne s'exprimer que quand on le laisse faire. Il crée tout, tout ce qui nous lie à la réalité, nos idées. En fait, ce type en nous, c'est nous. Et il sait tout faire. Toi, toi qui me permet de créer les légendes. Tu voudrais pas te remettre au boulot ? Hein, juste pour rire, allez, chiche !
Je tiens à toi parce que tu me permet de m'évader, de vivre par procuration, ce qui me permet à la fois de fuir et résoudre mon problème de banalité. Le résoudre temporairement. M'épanouir par les rêves, trouver ce que je veux. Vouloir vivre de mon rêve, grâce à toi. Grâce à elle aussi...Mais ne pas vivre dans le rêve
Sur le coup, j'en ai rien à faire de ce que dit Freud. D'ailleurs, comme toutes réflexions sur ce blog, ce sont les miennes et non celles des autres.
Le monde des songes est assez troublant. Parfois enrichissant, il nous donne beaucoup d'idées, il nous forme, il nous comdamne aussi. J'ai déjà rêvé d'une fille, que je pensais aimer. Rêvé d'une situation particulière avec elle. Et lorsqu'un semblant de cette situation s'est déroulé, je l'ai poussé dans le sens de mon rêve, ce qui a créé un échec. Pourtant dans le rêve, tout s'était si bien passé :).
On rêve à des supers pouvoirs, à une vie meilleure, une aventure banale, des choses extraordinaires. On rêve éveillé. On ment, on se ment. Mais pourquoi ?
Je sais encore ce foutu mot. Pourquoi ?
Pour s'évader, d'un monde qui nous déplait. Par besoin, par nécessité. Non c'est pas la solution. Parce que des fois, on se lie à la réalité. On rêve de notre dernière DotA. On revit le passé. On fout tout en l'air, on a peur. On se cache d'une réalité qui nous absorbe. On ne rêve que par peur peur. On cauchemarde.....STOOOOOP ! On arrête le délire.
Là, j'ai peur, peur que ce que je vienne de dire soit vrai. On pourrait rêver que par peur de la réalité. Après tout, on ne crée rien, on utilise les outils du vrai pour faire du presque vrai.
Je vois plutôt le rêve comme un autre nous. Un nous réél, qui a tout pouvoir, sauf de ne s'exprimer que quand on le laisse faire. Il crée tout, tout ce qui nous lie à la réalité, nos idées. En fait, ce type en nous, c'est nous. Et il sait tout faire. Toi, toi qui me permet de créer les légendes. Tu voudrais pas te remettre au boulot ? Hein, juste pour rire, allez, chiche !
Je tiens à toi parce que tu me permet de m'évader, de vivre par procuration, ce qui me permet à la fois de fuir et résoudre mon problème de banalité. Le résoudre temporairement. M'épanouir par les rêves, trouver ce que je veux. Vouloir vivre de mon rêve, grâce à toi. Grâce à elle aussi...Mais ne pas vivre dans le rêve